dimanche 31 janvier 2016

Rainbow Warriors d'Ayerdhal

Rainbow warriors est un thriller d'Ayerdhal publié en poche chez Le Livre de Poche et paru précédemment chez Le Diable Vauvert

Geoff Tyler, général de division mis à la retraite sur requête du Bureau ovale, est sollicité pour une mission peu ordinaire. Il doit prendre la tête d'une armée privée financée par des célébrités de toutes obédiences. Objectif : renverser le dictateur d'un État africain et favoriser des élections en bonne et due forme. Ses moyens : l'argent n'est pas un problème. Son effectif : un encadrement d'une centaine de professionnels et 10 000 soldats dont il faut parfaire la formation. Jusqu'ici tout va bien. Il y a toutefois un détail… Cette armée est presque exclusivement constituée de LGBT. Lesbiennes, Gays, Bi, Trans.

Très clairement, Ayerdhal partait avec ce roman sur une idée casse-gueule. L'improbabilité de la chose, voyez. Mais Ayerdhal n'était pas n'importe qui et Rainbow warriors est une réussite tant par les idées que par l'humour ou le rythme et surtout par ses personnages tous savoureux.

vendredi 29 janvier 2016

Horrorstör de Grady Hendrix

Horrorstör est un roman horrifique (comme son nom l'indique) de Grady Hendrix qui se déroule dans un magasin qui n'a bien sûr aucun rapport avec Ikéa. AUCUN. Il est publié chez Milan et demi, un label des éditions Milan (mais pas du tout jeunesse). C'est à la fois un roman d'épouvante mais aussi une réflexion sur le concept Ikéa, tant sur les techniques de vente (avec la désorientation programmée par exemple) que sur celles de management (endoctrinement).

Il se passe quelque chose d’étrange au magasin de meubles Orsk à Cleveland, en Ohio. Ces derniers temps, les employés découvrent, en arrivant le matin, des étagères Kjërring démontées, des piles de gobelets Glans renversées, des armoires Liripip fracassées… Les ventes sont en berne, les responsables de rayon paniqués : les caméras de surveillance ne montrent rien d’anormal. Pour lever le mystère, une équipe de trois employés s’engage à rester sur place toute une nuit. Au cœur de l’obscurité, ils arpentent les allées du showroom désert, courent après d’inquiétants bruits et finiront pas se confronter aux pires horreurs…

La première chose qui m'a attirée vers ce roman est clairement son design atypique. Format carré comme chez Les Moutons Électriques, il ressemble à s'y méprendre à un catalogue Ikéa. Et pour cause : l'action se déroule dans un magasin Orsk, miroir fictionnel de l'enseigne suédoise. Tout le roman se passe à huis-clos dans le magasin, et l'auteur en profite pour placer des noms de produits aussi improbables que drôles. Les pages intérieures ne sont pas en reste. En ouvrant on découvre un plan du magasin Orsk de Cleveland, un formulaire de livraison à domicile et surtout un laïus sur ce que c'est "d'être Orsk". Chaque chapitre est ouvert par la présentation d'un produit Orsk : un canapé Brooka, une table Arsle, puis petit à petit des choses légèrement moins conventionnelles, comme un bureau de marche.


dimanche 24 janvier 2016

Je suis la reine d'Anna Starobinets

Je suis la reine est un recueil de l'auteure russe Anna Starobinets, paru chez Mirobole et repris en poche chez Folio SF. D'elle, j'ai déjà lu Le Vivant, une dystopie post-humaniste qui, même si la fin s'est révélée décevante, est un roman très bien écrit et construit. Ayant lu de bonnes critiques sur ce recueil qui appartient plutôt au genre horrifique / fantastique, je me suis plongée dans sa lecture.

Tous les enfants s’inventent des règles à respecter. Mais pour Sacha, transgresser les Règles pourrait avoir de terribles conséquences. Lorsque Dima monte dans le train, il est loin de se douter qu’il va retrouver sa famille – une famille qu’il n'a jamais vue. Oublier une soupe dans un réfrigérateur peut avoir des répercussions inattendues. Que s’est-il vraiment passé ce chaud dimanche d’août pour que Maxime, huit ans, change au point d’affirmer à sa mère : «Je suis la reine»? Il y a quelque chose d’étrange chez Yacha, ce matin, mais quoi? Est-ce vraiment son cœur qui s’est arrêté de battre ?

Je crois que la reine, ici, c'est Anna Starobinets : celle de l'horreur au quotidien, de la schizophrénie et de l'absurde !

jeudi 21 janvier 2016

Bifrost n°80 : Stephen King

J'achète de temps en temps un numéro de Bifrost, et je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci : n°80 spécial Stephen King, un de mes auteurs doudou depuis l'adolescence. J'ai lu Le Fléau assez tôt (mais je n'avais pas pu le finir à l'époque, j'étais en vacances chez une tante éloignée), avant de me lancer dans Brume et Danse Macabre... Depuis j'ai lu tous ses recueils traduits, et une partie non négligeable de ses romans.

La revue contient quatre nouvelles, deux du King dont une inédite en français (excusez du peu !), ainsi qu'une de Ken Liu (<3) et la quatrième d'Alyssa Wong (que je ne connaissais pas). On y retrouve également un dossier fort instructif sur le King dont une belle biographie ainsi qu'une bibliographie, et des articles de fond sur son œuvre et ses inspirations, puis les critiques habituelles des diverses sorties (avec lesquelles on est d'accord, ou pas, ou pas, ou si quand même), un scientifiction autour des animaux du futur, des infos en vrac et un ours toujours aussi drôle...

mercredi 20 janvier 2016

J-77, tome 2 de la trilogie Dernier meurtre avant la fin du monde de Ben H. Winters

Dernier meurtre avant la fin du monde publié chez Super 8 a été un coup de cœur l'année dernière. C'est donc avec plaisir que j'ai vu arriver J-77 dans ma boîte à lettres. On dit toujours que le second tome d'une trilogie est le plus faible. Malheureusement ça se confirme ici.

La fin du monde ? Elle arrive. Dans 77 jours maintenant, l’astéroïde 2011GV1 va s’écraser sur Terre, quelque part en Indonésie, et c’en sera fini de l’humanité. Plutôt que de se lever le matin pour aller travailler, les Américains – et on les comprend – préfèrent concrétiser d’urgence la liste des cent choses qu’ils ont envie de faire avant de mourir avec, évidemment, tous les excès que cela implique. Pourtant, il reste un homme, un seul, bien décidé à faire son job jusqu’au bout : Hank Palace, ancien flic de la police de Concord. Déterminé à retrouver Brett Cavatone, le mari de sa nounou qui a mystérieusement disparu, Hank se lance dans une quête désespérée, et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Mais son courage et sa droiture suffiront-ils ? Car rien n’est simple dans un pays livré à une anarchie sans nom, où l’électricité et les télécommunications ont rendu l’âme et où les pillages sont quotidiens.

J-77 est la suite de l'excellent Dernier meurtre avant la fin du monde. Ben H. Winters nous y présente la suite des tribulations de Hank Palace, un ex-flic qui évolue dans un monde en chute libre : l'astéroïde Maïa va s'écraser sur Terre dans 77 jours, et la plupart des gens vont mourir. Difficile de garder son sang froid dans ce cas. Tout part en cacahuètes, chacun cherche à utiliser "au mieux" ses derniers jours : partir vivre son rêve, essayer de trouver une solution pour survivre, se venger, tuer... Mais pas Hank.

lundi 18 janvier 2016

♥♥ Le Temps n'est rien d'Audrey Niffenegger

Le Temps n'est rien d'Audrey Niffenegger est un roman de SF et d'amour autour du voyage dans le temps que je n'aurais certainement pas lu sans le coup de cœur d'Acr0. Je suis bien contente d'avoir suivi son conseil car j'ai dévoré ce récit qui sort du lot par le traitement atypique de l'histoire d'amour.

"Je l'aime. II représente tout pour moi. Je l'ai attendu toute ma vie et à présent il est là. (J'ai du mal à m'expliquer.) Avec lui je peux contempler mon existence dans sa totalité, comme une carte, passé et futur réunis, comme un ange... [..] Tout est déjà arrivé. Tout en même temps. " Nous avons tous déjà eu cette impression d'avoir rencontré une personne quelque part avant, ou de l'avoir connue dans une autre vie... Et si c'était dans un autre temps ? Quand Henry, bibliothécaire, voit arriver Claire, une artiste séduisante, il ne peut croire à l'incroyable : ils se connaissent depuis des décennies, même s'il ne s'en souvient pas. Car Henry est atteint d'une maladie qui le propulse dans le temps. II a rencontré Claire alors qu'elle était enfant et va sans cesse partir et revenir à des époques de leurs vies respectives...
L'histoire folle et romanesque d'un amour absolu et éternel.


Le Temps n'est rien d'Audrey Niffenegger est un roman paru en 2003 aux Etats-Unis et en 2005 en France. Il a été adapté au cinéma en 2009 sous le titre Hors du temps. Et moi, jusqu'en 2016, je suis passée à côté de cet excellent récit !

vendredi 15 janvier 2016

↓ Les Veilleurs de Connie Willis

Les Veilleurs est un best of des nouvelles primées de Connie Willis, publié chez Nouveaux Millénaires, avec le manque de communication qui caractérise l'éditeur. Mais je l'ai repéré ! A moi le plaisir de lecture procuré par la conteuse Willis... Ou pas !

Propulsé en 1940 à Londres par le professeur Dunworthy sans la moindre préparation, John Bartholomew intègre la brigade des veilleurs du feu, ces héros qui ont sauvé la cathédrale Saint-Paul des bombes allemandes… À cette époque, de nombreux Londoniens se réfugiaient dans le métro, dont plusieurs stations portent aujourd’hui encore de bien curieux stigmates… Et tandis que d’autres vont chercher la mort beaucoup plus loin, sur les rives antiques du Nil, certains accueillent en eux la présence des dieux à têtes d’animaux pour en faire un commerce fort lucratif… Voici quelques-uns des thèmes abordés dans ces neuf nouvelles et courts récits primés – parmi lesquels « Les veilleurs du feu », préquelle au roman Black-Out et au cycle temporel –, qui donnent à voir un aperçu complet des talents de conteuse de Connie Willis.

Les Veilleurs est la traduction française d'un recueil existant en anglais, intitulé Best of Connie Willis. Il regroupe les nouvelles primées de l'auteur et a lui-même reçu le Prix Locus. Excellent point, il est dédié aux bibliothèques publiques. Dans un avant-propos très instructif et sans spoiler, l'auteure nous explique comment elle en est venue à aimer la SF et à en écrire, insistant sur le rôle essentiel des bibliothèques et de leur fonds SFFF dans sa jeunesse.

Certaines nouvelles sont agréables, bien menées, pleines d'émotions ou inquiétantes, et fonctionnent. D'autres, par contre, m'ont fait sentir un défaut que certains reprochent à Connie Willis dans ses romans : c'est bavard ! Autant un roman bavard ça passe, car ça prend son temps, ça met en place une intrigue, ça permet d'approfondir les personnages, autant en format nouvelle c'est péniiiiible, c'est long !! Il y a quelques exemples de ce type dans le recueil, et je me suis surprise à sauter des pages pour arriver à la conclusion plus rapidement.

Chaque nouvelle est accompagnée d'une post-face explicative de l'auteure, sur ses inspirations et ses motivations, et le contexte de l'écriture. Bref tour d'horizon des nouvelles qui déchirent et des nouvelles qui trainent.

mercredi 13 janvier 2016

Challenge SFFF & Diversité

Le défi SFFF & Diversité est lancé par Lhisbei du RSF Blog. Il se déroulera du 15 janvier 2016 au 14 janvier 2017. J'avais trouvé bizarre de ne pas avoir de challenge hivernal comme le Winter Time Travel, qui fut mon tout premier challenge en 2011, ou le Winter Mythic Fiction cette année, le mystère est résolu !

Ce défi est militant et consiste à lire des œuvres issues de la diversité et/ou engagées, comme vous allez pouvoir le constater :


mardi 12 janvier 2016

Techno Faerie de Sara Doke

Techno Faerie est un fix-up (ensemble de nouvelles formant un tout cohérent) de Sara Doke, publié chez Les Moutons Électriques. C'est un titre d'Urban Fantasy complété par des annexes illustrées par de nombreux et talentueux dessinateurs dont Caza, Zariel, Sandrine Gestin...

Les fées existent bien sûr, et elles sont de retour. Les fées ont cessé de se cacher des hommes : elles sont revenues et bon an mal an l’univers de la Faerie s’est intégré à la société technologique. Depuis les premiers contacts d’enfants-fae avec la civilisation de l’automobile jusqu’aux premiers voyages spatiaux, ce livre conte l’histoire d’une évolution différente de notre monde. L’auteur, Sara Doke, vit à Bruxelles et est traductrice. La poésie puissante de son inspiration, l’originalité de sa vision d’un monde soudain enrichi des faes, sont saisissantes. Avec des documents, des fiches couleur sur les 88 principales faes et de nombreuses illustrations, par Bigot, Booth, Calvo, Cardinet, Caza, Ellyum, Fructus, Gestin, Jozelon, Larme, Malvesin, Mandy, Muylle, Nunck, Tag, Verbooren, Zandr et Zariel. 

Je l'avoue tout de suite : les fées, ce n'est pas ma tasse de chocolat (j'aime pas le thé non plus, non). Mais la technologie oui, surtout si on cause d'une espèce de déclin du monde et éventuellement de voyage spatial. Là d'accord ! Ceci étant clair, poursuivons.

dimanche 10 janvier 2016

♥♥ My real children - Mes Vrais enfants de Jo Walton

My real children est un roman uchronique de Jo Walton. Il n'est pas encore traduit en français mais Gromovar et Cédric m'ont tellement vanté ses qualités que j'ai succombé à l'appel de la VO. Grand bien m'en a pris, cela m'a permis de passer un excellent moment de lecture pendant les fêtes ! Morwenna était agréable, Le Cercle de Farthing s'est révélé bien meilleur, et voici l'apothéose, le sommet du travail de l'auteure : My real children !

MàJ : Mes Vrais enfants est sorti en français chez Denoël Lunes d'encre en janvier 2017 ! Jetez-vous dessus !!

2015 : Patricia, anglaise de plus de 90 ans, vit dans une maison médicalisée. Elle est sénile et sa mémoire à court terme est fichue depuis de nombreuses années. Elle semble avoir des hallucinations : parfois les rideaux de sa chambre sont bleus, d'autres fois ils sont verts. Elle est sûre de posséder des jumelles pour observer les oiseaux, mais une fois sur deux ses enfants lui disent que ce n'est pas le cas. D'ailleurs, une fois sur deux, ses enfants ne sont pas les mêmes... Et puis elle se rappelle avoir vécu deux vies différentes...

Patricia se rappelle parfaitement son enfance avec son père, sa mère et son frère, sa vie exilée de Londres pendant la guerre, et ses études. Elle se rappelle clairement d'un coup de téléphone de Mark, qui la demande en mariage et lui enjoint de répondre maintenant ou jamais... Elle se rappelle avoir répondu "maintenant". Elle se rappelle avoir répondu "jamais". A partir de là, elle va vivre deux vies différentes. Aujourd'hui, proche de la fin, elle se demande : laquelle a-t-elle vraiment vécu ? Qui sont ses vrais enfants ?

jeudi 7 janvier 2016

Nous entrerons dans la lumière de Michèle Astrud

Nous entrerons dans la lumière est un roman de Michèle Astrud publié par Les Forges de Vulcain. A la fois crépusculaire et lumineux, c'est un texte littéraire, que je qualifierai de roman apocalyptique d'auteur, dont le côté SF provient du fait que l'histoire touche à la cli-fi.

Dans un monde détruit, chacun lutte férocement pour sa survie. Chaque jour, Antoine se bat contre l’oubli, en photographiant son environnement en train de disparaître. Seul, il n’a plus que Chloé, sa fille traumatisée, qui réside dans une institution. Sonia, son amour de jeunesse devenu documentariste, réapparaît alors, pour terminer le film qu’ils avaient jadis commencé. Antoine décide de partir sur la route avec Chloé, dans l’espoir de sauvegarder l’œuvre de Sonia, et de les sauver eux-mêmes. 

Nous entrerons dans la lumière raconte l'histoire d'Antoine et de sa fille, internée depuis qu'elle a été traumatisée à ses huit ans. Entre temps, Antoine a démissionné, sa femme est partie vivre dans un pays au climat plus clément et la France est peu à peu désertée, ses habitants étant devenus des réfugiés climatiques.

mercredi 6 janvier 2016

L'Homme qui en savait trop de Laurent Alexandre et David Angevin

L'Homme qui en savait trop de Laurent Alexandre et David Angevin est un biopic / thriller / SF sur la vie d'Alan Turing, publié chez Robert Laffont. Le cœur de l'histoire est la biographie romancée du génie anglais. Elle est reconstituée à partir d'archives par l'IA de Sergei Brin, un des deux créateurs de Google, dans un futur plus ou moins proche où le transhumanisme est devenu la norme.

Dans un futur proche. Les transhumanistes ont gagné. L'IA (intelligence artificielle) domine désormais le monde. Mais elle a une obsession : réhabiliter la mémoire de son «père», le génial mathématicien anglais Alan Turing. Pour cela, il lui faut établir la preuve qu'il ne s'est pas suicidé, comme l'a toujours prétendu la version officielle, mais qu'il a été assassiné. En quête du moindre indice, elle remonte le fil de sa vie...

L'Homme qui en savait trop est une biographie romancée d'Alan Turing. Je l'ai acheté après avoir vu (deux fois) Imitation game, dans lequel Turing est personnifié par l'exceeeeellent Benedict Cumberbatch. J'avais envie de creuser un peu l'histoire de sa vie, tout en restant dans un environnement SF. 

mardi 5 janvier 2016

Positif de David Wellington

Positif est un roman post-apocalyptique zombie de David Wellington paru chez Bragelonne.

Tout le monde peut être positif... Le signe « plus » tatoué au dos de la main de Finnegan le marque comme un positif. À tout moment, le virus zombie pourrait se diffuser dans son corps, transformant l’être humain rationnel qu’il est en un monstre affamé. Sa seule chance de mener une existence normale est de survivre à la période d’incubation potentielle. Finn se lance alors seul dans un voyage infernal qui lui fait traverser une Amérique métamorphosée – un territoire sombre et dangereux, peuplé de héros, de pillards, de fous furieux et de hordes de zombies. Et bien que ceux-ci soient partout, Finn ne tarde pas à découvrir que le plus grand danger vient peut-être de ses frères humains...

Positif, c'est l'histoire de Finnegan, un jeune adulte de la seconde génération après la catastrophe zombie. On le rencontre alors qu'il pêche un homard dans une station de métro inondée de New York, devenue une enclave sûre. Problème : les zombies de ce roman sont en fait des infectés, et l'incubation est de... 20 ans. Les "première génération" (les personnes survivantes de la catastrophe, dont sont les parents de Finn) sont donc toujours susceptibles de se transformer. Ce qui devait arriver, arriva, et Finn, soupçonné d'être porteur du virus, devient un Positif avec un + tatoué sur la main, et est envoyé hors de l'enclave, dans des terres dignes de Mad Max avec des zombies, pour aller vivre dans un camp surveillé par l'armée avec d'autres positifs.

dimanche 3 janvier 2016

Bilan de lecture 2015 : Lune a lu !

En 2015, j'ai décidé de tenir (à jour !!) un tableau de mes lectures, avec diverses données qui me semblaient intéressantes.

J'en tire quelques enseignements !

Et même une découverte à propos des supports utilisés. 

Ainsi vous saurez que :

vendredi 1 janvier 2016

☆ Bonne année 2016 ☆

Bonne année !!
Go for 2016

L'année des fraises
Non mais moi non plus ce n'est pas la première rime à laquelle j'ai pensé !
 
(ou de tout ce que vous voudrez)

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